Les lauréats du 42e Salon du Val de Viosne | Osny Aller au contenu principal

Les lauréats du 42e Salon du Val de Viosne

Le « Grand prix du Val de Viosne »

Hafiz Pakzad pour l’ensemble de ses œuvres.

Né à Bamyan en Afghanistan, Hafiz Pakzad compose des toiles riches du Patrimoine universel. Symbolisme, surréalisme et humour orchestrent des scènes où la douceur et les nuances se conjuguent. Cet artiste franco-afghan est maitre du pixellisme, technique plus fine encore que le pointillisme.

La funambule - L'impressionniste - Le roman de la mer

 

Le prix de la meilleure œuvre sur papier

Jean-Paul Schifrine pour l’ensemble de ses œuvres.

Ni peintre ni graphiste, ni illustrateur ou coloriste, Jean-Paul Schifrine se dit un « croquineur » : « Le croquis traduit l’essentiel de manière spontanée ; la sincérité du tracé impose de s’interdire crayon et gomme, par conséquent j’ai fait le choix de la technique aquarelle limitant la correction ».

Domaine onirique - Eva (en haut) - Hameau onirique (en bas)

 

Le prix de la sculpture

Cécile Lours-Blavette pour l’ensemble de ses œuvres.

L’artiste se définit elle-même comme figurative mais libre de tout modèle. Sa sculpture s’écarte du réalisme pour favoriser une approche plus intérieure.

Butterfly - Yukari - Ciel d'orage - Au-dessus des nuages

 

Le prix des Jeunes artistes en herbe

La classe de CP/CE1 de Madame Schepper de l’école d’Immarmont 

Il s’agissait de produire une œuvre collective « à la manière » Françoise David-Leroy.

Le prix du Public décerné par les visiteurs

André Sallon pour son œuvre Nuit d’enfer.

Ce peintre valmondoisien a acquis une réputation de peintre figuratif plus vrai que nature.

Cette année, le prix du public lui a été décerné pour son œuvre marquante « Nuit d’enfer ». On peut y voir la célèbre Cathédrale Notre Dame de Paris brulée, lors de journée dramatique du 15 avril 2019.

Nuit d'enfer

 

Prix du Jeune public décerné par les enfants des écoles d’Osny.

Isabelle Calvez dite Izacat pour son œuvre Trafiquants d’herbe.

Cette œuvre montre des matous, un peu voyous, plus vrais que nature dans une scène très drôle.

Trafiquants d'herbe